105 fans | Vote

#308 : Plus Dure Sera La Chute

Henry fait tout pour annuler son mariage sans amour avec Anne de Cleves et prend une nouvelle maîtresse : Katherine Howard, agée de 17 ans. La Princesse Mary tombe amoureuse de Philip, le Duc de Bavière. Cromwell perd soudainement tous ses avantages.

 

 

 

Popularité


4.67 - 3 votes

Plus de détails

Titre VO : The Undoing of Cromwell - Titre VF : Plus Dure Sera La Chute
Diffusion US : 24 mai 2009
Diffusion FR : 02 août 2010

Réalisé par: Jeremy Podeswa
Ecrit par: Michael Hirst
Acteurs secondaires: Sarah Bolger (Princesse Marie), Max Bown (Edward Seymour), Mark Hildreth (Reginald Pole), Tamzin Merchant (Katherine Howard),

Henry VIII : Messieurs. J’admets que, bien qu’ayant couché avec la reine, presque toutes les nuits, et ce depuis des semaines, ma conscience ne me permet pas de consommer le mariage. Je crains qu’il y ait un obstacle. J’ai fait plus que tout homme, pour convaincre mon cœur et mon esprit, mais l’obstacle ne sort pas de mes pensées. A la vérité, peut-être que l’existence d’un précontrat. Entre le fils du Duc et la princesse de Lorraine, donc elle n’a jamais été libérée. Et dans ce cas, j’ai épousé, en vérité, la femme d’un autre homme. Messieurs. Je vous charge de découvrir si mes scrupules sont justifiés.

Rich : Mon Seigneur, vous devez trouver un moyen de soulager la conscience de Sa Majesté.

 

Henry VIII : Je vous le dis, Charles, Dieu ne me donnera plus de fils, si je continue avec ce mariage.

Charles : Elle est tellement innocente qu’elle ne sait pas quoi faire ? Ne pas dire à une femme ce qu’il lui attend la nuit de noces est… comme aller à la pêche sans appât.

Henry VIII : Je forcerai Cromwell à trouver une solution pour dénouer ce mariage. Je l’ai fait seulement pour le bien du règne, et maintenant la raison ne subsiste plus. L’empereur et le roi de France sont en train de s’entretuer de nouveau, et tous les deux sont venus me courtiser pour une alliance. Qui a besoin de Clèves ?

Charles : Lord Cromwell. Ce mariage n’était pas son idée ?

 

 

Lady Bryan : Majesté. La princesse Mary est ici.

Anne : Princesse, asseyez-vous. J’ai reçu une lettre de mon cousin. Philippe, il est le Duc de Bavière. Philippe aimerait venir en Angleterre pour vous connaître.

Mary : Pourquoi ?

Anne : Il a entendu parler beaucoup de vous, Princesse Mary. Beaucoup de bonnes choses !

Mary : Je suppose qu’il est luthérien… Comme vous.

Anne : Il est fascinant. Et très beau. Je crois qu’il pourrait vous plaire un peu. Que dois-je lui dire ?

Mary : Dites-lui… Dites-lui qu’il peut venir, si il le veut, et si le roi le désire. Mais de ne pas s’attendre à rien.

 

Homme : Père !

Cromwell : Grégory ? Pourquoi êtes-vous ici ?

Grégory : Vous avez oublié votre pilule pou l’inflammation. Je ne voulais pas qu’il reste avec une douleur.

Cromwell : Asseyez-vous.

Grégory : Sur quoi travaillez-vous ?

Cromwell : Je prépare quelques lois pour le parlement sur la profession médicale. J’essaie de convaincre Sa Majesté, de choisir ses Conseillers sur la base de leur mérite. Et rien de plus.

Grégory : Tu sembles fatigué, père. Comment est Sa Majesté ?

Cromwell : Il est bien. Sa jambe l’incommode. Il a mal, et il devient irritable.

Grégory : Est-ce la raison pour laquelle, parfois, il vous rabroue ?

Cromwell : Je ne garde aucun ressentiment pour le roi. Mais d’autres cherchent à me nuire, que je suis né humble et que je suis arrivé au sommet. Et… également pour d’autres raisons. Mais ne pensons pas à cela. Prenez soin de votre chère épouse, et de votre fils à naître. Il les aime, comme j’aime Dieu et sa parole. Tout devrait bien se passer.

 

Charles : Je regrette que vous n’ayez pas réussis à capturer traître… Reginald Pole, Sir Francis. Le roi le haï plus que tout autre homme au monde. De toute façon il a d’autres sujets en tête maintenant. Lorsque j’ai parlé avec Sa Majesté il m’a confessé être, sous quelques aspects, fatigué de sa vie.

Sir Francis : De sa vie ou de sa femme ?

Charles : Elles sont, au fond, la même chose.

Sir Francis : Il peut trouver une distraction, comme il l’a toujours fait, par le passé.

Charles : Facile, mais il est plus fatigué qu’avant. Les distractions habituelles ne serviront pas. Il pourrait essayer quelque chose de plus… radical.

Sir Francis : Dans cette affaire, au moins, Votre Excellence, est de ne pas décevoir le roi.

 

Mary : Seigneur ?

Homme : Princesse Mary. J’espère que vous pourrez me pardonner de mon audace. Je sais qu’il faut être présenté officiellement, mais… Je ne pouvais pas attendre.

Mary : Vous êtes le Duc Philippe ?

Philippe : Puis-je baiser votre main ? J’espère vous revoir de nouveau, Madame. En présence de ma cousine la reine, bien sûr.

Mary : J’avais pensé à quitter la cour demain, et aller à la campagne. Mais je peux reporter mon départ, si vous le souhaitez. Pour une journée ou plus.

 

Femme : Mon cher Sir Francis, vous m’avez beaucoup manqué. Belle comme toujours. Je ne vous ai pas vu depuis des mois, que faisiez-vous donc ?

Sir Francis : J’essayai de tuer quelqu’un.

Femme : Vous avez réussi ?

Sir Francis : Pas encore.

Femme : Je suppose que vous êtes venus jeter un coup d’œil à mes nièces chéries.

Sir Francis : C’est seulement après vous avoir vu, chère madame.

Femme : Allez tout droit. J’en aie quelques nouvelles. Et de très jolie. Parfois, je trouve difficile à croire, que celle qui les ait mis au monde, n’a pas eu le courage de les élever.

Sir Francis : Vous m’avez dit que à la majorité d’entre elles sont bâtardes.

Femme : Mais, des bâtardes aristocratiques, mon cher enfant. Des bâtardes aristocrates.

 

Sir Francis discute avec Charles et Edward Seymour.

Sir Francis : J’ai trouvé quelqu’un pour divertir le roi.

Edward : Qui est-ce ?

Sir Francis : Elle s’appelle Catherine Howard. Elle est apparentée au Duc de Norfolk. Son passé est disons, pas entièrement conventionnel.

Charles : Je suppose qu’elle est jeune et jolie.

Sir Francis : Voyez par vous-même, Mon Seigneur. Vous pouvez entrer ! (La jeune femme entre) Catherine ? Ce sont les excellentes personnes dont je vous ai parlé. Sa Grâce, le Duc de Suffolk et le comte de Hertford.

Catherine : Votre Grâce.

Charles : Quel âge avez-vous Catherine ?

Catherine : 17 ans.

Edward : Ca ne pourrait pas être mieux.

Charles : Dites quelque chose sur vous. Sur votre famille.

Catherine : Ma mère est morte quand j’étais petite, mon père s’est remarié, mais… je n’ai jamais vraiment connu sa femme. J’ai été envoyé à vivre à la résidence de la Duchesse.

Edward : Tu veux dire, la maison de la Duchesse de Norfolk ? La veuve du Duc.

Catherine : Je pense que oui, Mon Seigneur. Je ne l’ai pas vu souvent. Il y avait beaucoup d’enfants, de nombreux mariages. Nous avons grandi sans beaucoup de surveillance. C’était plutôt amusant.

Edward : Eh bien, douce Catherine. Je pense que l’amusement est sur le point de recommencer.

Sir Francis : Qu’en pensez-vous, Votre Grâce ?

Charles : Je pense… Je pense qu’elle saura servir un roi.

 

Anne : Et alors ? Avez-vous parlé avec lui ? Avec Philippe ?

Mary : Oui, un peu.

Anne : Je crois que c’est un homme très intelligent.

Mary : Je ne saurais le dire.

Anne : C’est également un bel homme. Vous lui plaisez vraiment beaucoup.

Mary : Il ne me connaît même pas. Nous n’avons rien en commun.

Servante : Votre Majesté, Sir Philippe vous demande en audience.

Mary : Je ne veux pas le voir.

Anne : Alors, allez par là, vite ! (Mary se cache derrière les rideaux avant que Philippe entre) Philippe, mon cher cousin.

Philippe : Majesté.

Anne : Que pensez-vous de ce pays ?

Philippe : Il me plaît beaucoup. Je serais heureux de vivre ici.

Anne : Alors ? Vous avez rencontré la princesse Mary ?

Philippe : Pendant un court moment seulement, mais je revis continuellement cet instant dans ma tête. On m’avait dit qu’elle était charmante, intelligente, cultivée, gracieuse. La véritable héritière de Katherine d’Aragon. Une vraie princesse. Mais rien ne m’avait préparé à sa beauté. Cette beauté qui vient de l’intérieur. Pour moi, elle est la plus belle des créatures de Dieu sur terre.

 

Un bal a lieu à la cour d’Angleterre.

Charles : Le Conseil a agi à la demande de Votre Majesté. Nous avons demandé une preuve écrite à l’envoyé de la reine sur le contrat prénuptial, avec le fils du Duc de Lorraine. Ils nous l’ont fourni… mais… les papiers semblent suggérer que, au lieu d’employer la formule habituelle « par verbis dei avenir ». Sur le véritable document du mariage il est dit « par representi verbis ». Il s’agit d’un contrat engagement… Lequel ne peut être annulé pour renoncement. Il semble donc que Votre Majesté, ai des raisons d’être optimiste.

Edward Seymour discute avec Catherine Howard.

Edward: Le roi vous a remarqué. Il pourrait demander à vous voir.

Catherine : Qu’est-ce que je devrais lui dire ? Que devrais-je faire ?

Edward : Seulement, être vous-même.

Henry VIII : Qui est cette fille ?

Charles : C’est Catherine Howard. Elle est apparentée au Duc de Norfolk. Elle vient d’arriver à la cour.

Henry VIII : Qu’elle vienne à moi.

Charles : Majesté.

 

Le roi Henry VIII est assis devant sa cheminée quand Catherine Howard le rejoint.

Charles : Majesté, Mademoiselle Catherine Howard.

Henry VIII : Merci, Charles ! Catherine.

Catherine : Votre Majesté.

Henry VIII : Je vous en prie… asseyez-vous ici. Etes-vous mariée ?

Catherine : Non, Votre Majesté.

Henry VIII : Vous savez lire ?

Catherine : Assez pour écrire une lettre.

Henry VIII : Qui vous écrit ?

Catherine : Personne.

Henry VIII : Possédez-vous beaucoup de maisons ?

Catherine rigole suivis du roi.

 

La princesse Mary danse avec Philippe quand soudain il s’arrête.

Mary : Pardon ?

Philippe : Vous m’avez écrasé le pied !

Mary : Je suis désolée. (Philippe part et elle le suit) Je ne me suis pas rendu compte, je le regrette. Je suis vraiment désolée. Je crois…

Philippe : Vous ne m’avez pas écrasé le pied. Comment le pourriez-vous, vos pieds ne touchent même pas le sol. Je voulais rester un moment seul avec vous. Je… (Il l’embrasse) Vous pleurez.

Mary : C’est parce que je suis heureuse.

Philippe : J’aimerai encore vous embrasser ?

 

Henry VIII : Savez-vous d’où vient cette bague ? Son histoire commence dans la cathédrale de Canterbury. La cathédrale a été un lieu plein de bijoux. Des offrandes laissées par des princes et des pèlerins. Toutefois, cet anneau… cet anneau a été le don le plus précieux de tous. Un roi de France l’a laissé en offrande pour sauver son âme.

Catherine : Puis-je la toucher ?

Le roi lui tend, et elle y dépose un baiser avant de remonter sa robe, puis de la rebaisser et de la lui rendre.

 

Philippe : Bonne nuit, princesse.

Mary : Bonne nuit, Votre Grâce.

 

Henry VIII : Dites-moi, M. Cromwell. Comment se déroulent les travaux pour le palais ?

Cromwell : Je suis heureux de vous informer que c’est presque finis  et sera prêt pour votre inspection en Juillet.

Henry VIII : Bien ! Je veux donner des terres à Mme Catherine Howard. Nous en avons confisquées récemment à un criminel, si je me rappelle bien. Avec deux grandes maisons. Je veux offrir le tout à Mademoiselle Howard.

Cromwell : Majesté.

Henry VIII : J’ai entendu dire que le Conseil a trouvé une faille au contrat prénuptial de la reine.

Cromwell : Il ne s’agit pas d’une imperfection qui ne pourrait être résolus par les médiateurs de la reine.

Henry VIII : Néanmoins, maintenant nous savons sur quoi nous baser. Par Dieu, je pense qu’elle ne serait être ma femme devant la loi. Quoique disent les gens, M. Cromwell. De face ou dans mon dos. Vous êtes toujours mon premier ministre, dont l’amour et la loyauté me donne pas de cause ou de raison de douter. S’il y a quelque d’important à faire, je sais que vous êtes le meilleur pour le faire.

Cromwell : Majesté.

Cromwell sort avec un sourire aux lèvres.

Homme : M. Cromwell ! Prenez ça !

Cromwell : Faites place ! Monsieur Risley ! Donnez-les au Monsieur Risley !

Charles vient voir le roi à son tour.

Charles : Majesté.

Henry VIII : Comment s’est passée la rencontre avec l’ambassadeur de France ?

Charles : Ce fut une réunion intéressante, Votre Majesté. Il a dit que le roi ne s’oppose pas à négocier secrètement avec vous. En d’autres termes, pour exempter les français de leur alliance avec l’empereur.

Henry VIII : Bien.

Charles : L’ambassadeur a aussi suggéré, que… comme les relations entre les anglais et les français s’améliorent, si Lord Cromwell n’était plus un obstacle pour eux.

 

Sir Francis : Mme Howard ? Le roi voudrait que vous acceptiez ce présent.

Catherine : C’est adorable ! S’il vous plait, remerciez Sa Majesté.

Sir Francis : Vous pouvez le remerciez personnellement.

Le roi entre à son tour chez Catherine Howard.

Catherine : Votre Majesté.

Pendant qu’elle se déshabille petit à petit, le roi éteint les bougies.

 

Edward Seymour : Entrez ! Evêque Gardiner. L’homme dont nous avions besoin. Maintenant nous pouvons commencer.

 

Grégory vient voir son père.

Cromwell : Grégory, qu’est-ce que c’est ?

Grégory : C’est un garçon. J’ai un fils.

Cromwell : Dieu merci !

 

Lady Bryan : Le prince Edward, Votre Majesté.

Henry VIII : Mon fils ! Mon fils !

 

Le Conseil est réunit.

Cromwell : Messieurs, nous pouvons commencer la réunion du Conseil.

Charles : Cromwell, vous ne pouvez vous asseoir là ! Il n’y a pas de place pour vous. Les traîtres ne siègent pas avec les nobles.

Sergent : Monsieur Cromwell ! Je vous arrête pour trahison.

Cromwell : Je ne suis pas un traître. J’en appelle à votre conscience, suis-je un traître ?

Tous : Oui ! Traître !

Les gardes l’emmènent.

Cromwell : Je ne suis pas un traître ! Non ! Non ! Je ne suis pas un traître !

 

Anne : Princesse Mary, asseyez-vous. J’ai quelques nouvelles. Le Duc Philippe est retourné en Bavière. Votre père, le roi, l’a renvoyé. Je suis désolée, je ne sais comment vous expliquer.

Mary : Pas besoin d’expliquer quoi que ce soit. C’est un sujet sans importance. Le Duc était charmant. Mais je n’aurais jamais pu l’épouser. Il est luthérien et je suis catholique.

Mary sort triste.

 

Evêque Gardiner : Messieurs… pour vous présenter la condamnation en contumace, de Thomas Cromwell, basée sur l’accusation de trahison. Lord Cromwell, dans lequel Votre Majesté s’est confié aveuglément. Il a agi sous de faux prétextes et s’est enrichis avec d’innombrables cadeaux. Il s’est montré comme des plus corrompus, des traîtres et imposteurs. En plus d’être un détestable hérétique, il a totalement disposé de votre âme et provoquer une révolte parmi les loyaux sujets de Votre Majesté. Avec le stratagème de la religion, puisque vice régent religieux, chargé de superviser la réforme, Cromwell encouragé, sans que Votre Majesté en ai connaissance l’enseignement et de la prédiction de l’hérésie. Messieurs, nous en avons la preuve que dans la nuit du 31 Mars, dans la paroisse de Saint Pierre le pauvre, Lord Cromwell défendu avec arrogance, ses croyances hérétiques. Il a dit que « si le roi a rejeté la réforme, il ne l’aurait ce soir. » Et si le roi, persécute ses disciples, il resterait en combattant sur les champs, avec l’épée à la main, pour combattre le roi et tous ses sujets. Et il a sorti son poignard. Et il a dit, « que ce poignard perfore mon cœur, si je ne meurs pas pour cette cause. Et si je dois vivre un an ou deux, pour que ce roi ne soit plus en pouvoir, de résister ou supprimer notre réforme. » Et il a fait le serment solennel.

Charles : Traîtres !

Edward : Il est vrai que vous aimez bien cet homme, Sir Richard ?

Rich : Comme un ami et non comme un amant. Mais je l’aimais surtout pour l’amour sui semblait nourrir pour le roi. Mais maintenant, si vraiment il est un traître, je regrette de l’avoir aimé et de mettre confié à lui. Je suis très satisfait, que sa trahison a été découverte à temps.

 

Le roi déjeune avec sa femme.

Henry VIII : J’espère, Madame, que vous êtes heureuse, et bien traitée.

Anne : Je n’ai rien dont me plaindre. Dans tous les endroits où je vais, je suis traitée avec beaucoup de respect. Et avec beaucoup de bonté de tous.

Henry VIII : J’en suis heureux. Vous ne mangez pas.

Anne : Majesté, je me demandais si…

Henry VIII : Je serai absent pour un moment. Je vous envoie dans mon palais dans le Richmond. Pour le bien de votre santé et pour votre plaisir.

Anne : Je vous remercie, Votre Majesté.

Edward Seymour entre.

Henry VIII : Je dois prendre soin d’affaires urgentes. Madame.

Edward : Le Conseil vous considère suffisant en qualité de Chef de l’Eglise, pour que vous demandiez aux évêques d’annuler votre union. Mais, pour être plus diplomatique, nous avons besoin de la preuve que le mariage n’a jamais été consommé. Et que Sa Majesté n’a jamais véritablement consenti à celui-ci.

Henry VIII : Envoyé une délégation à M. Cromwell. Lui ordonnant qu’il livre les preuves écrites qui soutiennent mon annulation de mariage. Qu’il se rappelle que je parlais souvent de mes sentiments détestables envers cette femme.

 

Charles rend visite à Cromwell en cellule.

Charles : M. Cromwell.

Cromwell : Votre Grâce.

Charles : Le roi vous ordonne d’écrire une lettre. Dans laquelle vous décrirez comment il considérait Anne de Clèves, ce que vous vous êtes dits sur le sujet et si il vous a dit avoir consommé le… supposé mariage… ou bien non. Il vus commande même de décrire les obstacles de mariage et pourquoi, malgré tout, vous l’avez organisé. Sa Majesté vous accuse de ceci, et vous en répondrez devant Dieu le terrible jour de votre jugement. Et aussi sur l’extrême danger, et pour la damnation de votre âme et conscience, vous devez écrire exactement ce que vous savez.

Cromwell : Je serais plus que ravi d’obéir aux ordres du roi. Et confiant dans son plaisir et dans sa satisfaction. Je souhaite le bien-être de Sa Majesté plus que tout autre chose, je suis prêt à mourir pour elle.

Charles : Je me demande si vous pouvez voir votre maison de cette fenêtre. Le fait est, M. Cromwell… que seulement 2 heures après votre arrestation, le roi a expédié chez vous son secrétaire du trésor, et ils ont pris vos biens. La foule est descendue dans la rue pour les inciter. Ce fut un beau spectacle… pour ce que j’en sais. Gardes !

 

Cromwell écrit une lettre… Catherine Howard lit la lettre de Cromwell, allongée nue sur le lit avec le roi.

Catherine : En trouvant, Votre Majesté insatisfaite, comme j’ai imaginé qu’il l’était… j’ai osé vous demander ce que vous pensiez de la reine. « Sa Majesté m’a répondu avec un air séreux qu’elle ne me plaisait déjà pas avant, et que maintenant, je l’aime encore moins. J’ai touché ses seins et son ventre, et par conséquent, je peux dire qu’elle ne me semblait pas vierge… Je l’ai laissée ainsi, comme je l’ai trouvée.

Henry VIII : Qu’est-ce qu’il écrit à la fin ?

Catherine : « Je supplie humblement Votre Majesté de pardonner sa grossière écriture, considérant que si je suis votre prisonnier le plus loyal, je suis prêt à affronter la mort, pour satisfaire Dieu et Votre Majesté. »

Cromwell : La lâcheté en moi m’incite continuellement à demander Votre Grâce, et votre miséricorde qui a bien voulu me protéger. Donc je prie le Christ qu’il vous préserve et vous protèges. Ecrit dans la tour ce mercredi.

Catherine : « Le dernier jour de Juin. Avec un cœur lourd et d’une main tremblante, votre plus humble prisonnier, votre pauvre esclave. » Il a écrit quelque chose dans le bas de la page.

Henry VIII : Mon précieux prince, je vous implore pitié. Miséricorde. Miséricorde.

 

Evêque Gardiner : Votre Grâce, vous serez à Tour Hill, demain ?

Charles : Rien ne pourra m’en empêcher. Je vous assure, Votre Grâce, que… sa fin, sera avec un déshonneur jamais vu.

Evêque Gardiner : Je le savais. Votre Grâce. Je le savais.

Femme : De quoi il parle ? Dites-moi.

Sir Francis : Cromwell sera exécuté sur même échafaud de Lord Hungerford… Connu sous le nom de « Walter le fou ». Il a été condamné à mort pour divers crimes, telles que la sodomie, le viol de sa fille, et d’avoir payé des voyants pour qu’ils prédisent le jour de la mort du roi.

Edward : Il n’a pas eu besoin de payer pour connaître le jour de sa mort.

Evêque Gardiner : Cromwell sera humilié. Ce gueux, ce menteur ambitionnait trop d’avoir le sang d’autrui !

Sir Francis : Nous ne disposons pas seulement de cela. Tom et moi, avons imaginé d’autres moqueries au détriment de sa seigneurie.

Edward : Quel genre de moquerie ?

Evêque Gardiner : Patience, Edward. Patience !

 

Thomas Seymour : Prenons une autre bière. Excusez. J’ai oublié votre nom, mon ami. Comment vous appelez-vous ?

Homme : Uriah, monsieur.

Sir Francis : Il a le nom d’un Saint, Uriah !

Thomas : Une grosse journée demain ?

Uriah : Je devrais être déjà au lit.

Sir Francis : La dernière pinte. Je vous l’offre. Et ensuite trinquons aux vieux amis, hein ? Deux autres pintes, et de la bonne !

 

Cromwell est conduit sur l’échafaud pour son exécution.

Sir Francis : Maître Uriah ! J’espère que vous êtes concentrés ce matin, hein ?

 

Servante : Madame, le comte de Hertford est arrivé.

Anne : Messieurs.

Edward : Madame, il est de mon devoir de vous informer, que le parlement dans ses convocations de Canterbury et de York, ont considéré que votre mariage avec le roi est invalide. Sur les bases de votre contrat précédent avec le Marquis de Lorraine, et l’insuffisant intérêt du roi à consentir au mariage et qu’il a pas été consommé. Le mariage a été déclaré nul et non avenu. Toutefois, dès maintenant, le roi sera heureux de vous donner le titre de Sœur. Acceptez-vous ? Dans ce cas, je peux vous communiquer que le roi vous a assigné une magnifique rente, de 4 000 livres manuelles. Ainsi, que le palais de Bletchingly et de Richmond, et le château de Hever, le temps de votre séjour en Angleterre. Pour vous laissez le temps à Sa Majesté de confirmer votre virginité. Et vous serez libre d’épouser qui vous voulez.

Anne : Je vous prie… de dire au roi que… J’espère… qu’un jour j’aurai de nouveau le plaisir, de sa noble présence. Et que je prie le Tout-puissant de lui offrir une longue vie et une bonne santé.

 

Grégory : Père ! Père !

Cromwell : Bonnes gens… Je suis venu ici pour mourir. Cela ne me dérange pas que quelques-uns pensent que je dois mourir. J’ai été condamné de par la loi à mourir, je remercie Mon Seigneur pour m’avoir concédé cette mort pour me disculper de mes pêchés. Parce que depuis que je suis venu au monde j’ai vécu comme un pêcheur. Et en offensant Dieu, et que pour lequel je demande sincèrement son pardon.

Homme : Tuez-le ! Par l’amour du ciel, tuez-le !

Cromwell : Si jamais mon prince, offensé, à qui je pardonne. Envie de cœur vous priez pour le bien du roi. Il peut vivre avec la santé et la prospérité. Et la santé de votre enfant, le prince Edward.

 

Henry VIII regarde le nouveau palais avec Catherine Howard.

Henry VIII : Il est là ! Il n’existe pas d’égal palais. Mon ménestrel m’a dit qu’il n’existait pas.

 

Cromwell : Messieurs, vous devriez prendre ma vie comme avertissement… Je ne suis rien qu’un pauvre homme qui s’est fait seul. Jusqu’au grand monsieur, mais ensuite, pas atteint pas quiconque, d’avoir le Royaume sous mes ordres. J’ai visé pour avoir toujours plus. Mon orgueil a été la cause de ma punition. Dieu père tout-puissant, quand sa bouche s’arrêtera de parler… Que mon cœur puisse dire, « Monsieur dans vos mains, je vous confie mon esprit. » Priez pour le prince, et la Chambre des Lords du Conseil. Pour le clergé et le peuple. Je vous implore une dernière fois de prier pour moi… que ma tête puisse être coupée d’un unique coup. Et que je ne souffre pas beaucoup.

 

Le roi Henry VIII regarde Catherine Howard se balancer.

Catherine : Votre Majesté !

 

FIN

Kikavu ?

Au total, 35 membres ont visionné cet épisode ! Ci-dessous les derniers à l'avoir vu...

belle26 
29.05.2023 vers 17h

wolfgirl88 
07.07.2022 vers 07h

parenthese 
30.06.2022 vers 10h

whistled15 
24.12.2021 vers 10h

Mathry02 
25.02.2020 vers 20h

catgir2 
09.06.2018 vers 21h

Derniers commentaires

Avant de poster un commentaire, clique ici pour t'identifier.

Sois le premier à poster un commentaire sur cet épisode !

Contributeurs

Merci au rédacteur qui a contribué à la rédaction de cette fiche épisode

grims 
Ne manque pas...

Alternative Awards : À vos nominés
Alternative Awards | On compte sur vous !

Activité récente
Actualités
Nouveau sondage

Nouveau sondage
Locksley a eu la gentillesse de mettre en place un nouveau sondage que je vous propose. Cette fois,...

Animation Doctor Who : Un personnage de la série dans le Tardis ???

Animation Doctor Who : Un personnage de la série dans le Tardis ???
Le 14ème Docteur vient de reprendre les commandes du Tardis, mais ce dernier est lassé de n'avoir...

Nouveau sondage autour de la disparition de la reine Elizabeth

Nouveau sondage autour de la disparition de la reine Elizabeth
La Reine Elizabeth nous a quittés. En digne descendante des Tudors, elle laisse une empreinte...

Nouveau sondage

Nouveau sondage
Un nouveau sondage est disponible ; c'est cinto qui nous le propose :  comment qualifieriez-vous...

The Tudors disponible en intégralité sur MyTF1

The Tudors disponible en intégralité sur MyTF1
Les 4 saisons de la série The Tudors sont disponibles sur My TF1 à partir du 12 novembre et ce...

Newsletter

Les nouveautés des séries et de notre site une fois par mois dans ta boîte mail ?

Inscris-toi maintenant

Sondage
HypnoRooms

sossodu42, 04.05.2024 à 18:06

Bonsoir, une nouvelle bannière pour le quartier HPI attend vos votes merci

ShanInXYZ, 04.05.2024 à 18:09

Doctor Who ? C'est le nouveau jeu du quartier, un docteur à retrouver, à vous de jouer

choup37, 04.05.2024 à 21:22

Nouveau design sur Kaamelott, on attend vos avis

langedu74, Avant-hier à 21:15

Hello ! Une nouvelle session du ciné-émojis vient d'être lancée, rendez-vous sur HypnoClap pour deviner le film

Sonmi451, Hier à 13:33

Nouveau design' dans Gilmore Girls, hésitez pas à donner votre avis!

Viens chatter !